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Bienvenue dans un monde où l'enfant, ce synonyme de demain est en passe aujourd'hui de devenir synonyme d'hier!
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Re: Nouveau spectacle de Fred !
Écrivain de la forêt
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j'en suis aussi :-)

Contribution du : Le 24/09/2007 à 01:20
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"A l'endroit où les fleuves se jettent dans la mer, il se forme une barre difficile à franchir, et de grands remous écumeux où dansent les épaves." L'écume des jours
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Re: 6 mois 6 jours 6 heures
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pour le quand, surement quand j'aurai amassé suffisament pour assurer des frais, et le titre, je sais pas encore, celui que j'avais était déjà pris, donc je cherche

Contribution du : Le 20/07/2007 à 21:27
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Re: 6 mois 6 jours 6 heures
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C'est pubibook tu connais ?

Contribution du : Le 19/07/2007 à 10:09
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Re: Des origines de Virginie
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dès que je le récupère, je fais ça

Contribution du : Le 02/07/2007 à 19:41
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Re: Des origines de Virginie
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c'est pas Angela 15 ans à quoi tu penses ?

Contribution du : Le 01/07/2007 à 21:02
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Des origines de Virginie
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Voila, je suppose que je ne suis pas le seul à m'être demandé d'où le personnage de Virginie tirait ses origines et peut être même que beaucoup d'entre vous le savent déjà, mais bon

j'ai acheté le VSD de ce week end, qui était sur les enfants du clan Sarkozy, avec notamment une présentation "détaillée" de chacun, et quand on arrive sur Judith (ou jeanne marie, je sais plus), fille de cécilia (et donc belle soeur de fred) je vois que c'est elle qui aurait inspiré à fred ce personnage si ça vous intéresse j'essaierai de retrouver mon magazine et de vous scanner l'article. Au moins, maintenant, je sais d'où elle vient, et excusez moi si vous le saviez tous déjà

Contribution du : Le 01/07/2007 à 10:03
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Re: Langlais par le meuble:
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sauf si ta prof a de l'humour ou si elle est fan

Contribution du : Le 09/12/2006 à 17:26
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Re: Quelle est le meilleur épisode de lmdmf ?
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Dragon in the dark
Amsterdam
Les séducteurs
Bordel au pays des contes
L'oeil de verre
Le voyage a mulhouse
Harry potter et la pierre philosophale
Montagne de lettres

Voila mes préférés (je dois en oublier surement lol)

Contribution du : Le 20/02/2006 à 00:38
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Re: 6 mois 6 jours 6 heures
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Yo les tricératops, me revoici avec tous les chapitres. Je vous poste donc le dixième, puisque je m'étais arrêté au neuvième (logique, quoi lol). Il s'intitule "Dors, bébé, dors"

Je me suis réveillée ce matin, toujours avec cette horrible douleur au ventre, me rappelant sans cesse que quelque chose d?aussi horrible se préparait. Elle m?empêchait de me lever, me clouait au lit et me rendant incapable de bouger, comme si du plomb se trouvait dans mon estomac. J?espérais du mieux que je pouvais me tromper dans mes prédictions, afin que ni Manon, ni personne de mon entourage ne me quitte. Et si, à tout hasard, cela arrivait vraiment, comment ferions pour en informer sa famille, pour nous occuper de Sébastien, pour l?aider à surmonter cela ? A coup sûr, et à juste titre, il serait incontrôlable? Capable de trop de choses?

Cette nuit là était bien bizarre aussi. Avant mon réveil, j?ai encore eu des visions étranges. J?ai vu un nuage avec la tête du garçon de l?appartement, je me suis également vue allumer un cierge, et Hélène casser des morceaux de cire?

Elle entra dans le salon vers onze heures, de bonne humeur, reposée, belle. Je ne sais pas si c?est parce que pensais savoir ce qui l?attendait, mais je la voyais déconnectée de tout ça. Elle paraissait, étrangement, loin de ce tout petit monde.

J?étais encore couchée quand elle vint me voir pour me réveiller. Elle m?avait apporté des céréales à manger que j?avalai pour lui faire plaisir. La boule que j?avais dans l?estomac ne s?était toujours pas estompée. Alors qu?elle me faisait des couettes, elle me demanda ce que je pensais de ce que s?étaient dits Stéphane et Sébastien la veille. Je lui répondis que j?avais beaucoup de mal à y croire au vu de ce qui s?était passé auparavant, mais j?avais également noté que la veille, lors de la découverte du message sur la fenêtre, il s?était montré distant comme rarement, et je sentais bien que ça le gênait. Je ne savais donc pas quoi penser de ce comportement ; la seule chose dont j?étais à peu près sûre, c?était qu?au vu du lien qui unissait Steph et moi, et qui était le même qu?avec tous les autres, qu?il me parle en cas de problème d?ordre sentimental ne faisait absolument aucun doute. Elle n?avait pas l?air convaincue :

- Tu sais, ça fait quand même un nombre important d?années qu?on se connaît, me dit elle, et sentimentalement, il a toujours eu des comportement assez bizarres. Tu te souviens quand il était avec la fille dont il nous avait caché l?existence ?

- L?autre espèce de blondasse de sa classe ? Répondis je.

- Elle-même. Bah il nous avait caché son existence, sans même savoir que nous la détestions.

- Je comprends bien, et conçois que ça te soit resté en travers de la gorge, mais le problème, c?est qu?aujourd?hui, ce n?est ni le moment ni l?endroit pour en parler. On est pas à sa place, et j?ai assez confiance pour légitimer des choses qu?ils nous cacherait. On a un démon qui essaie de nous massacrer pour redescendre sur terre, et c?est quand même d?un ordre plus dangereux et dramatique que nos histoires de c?ur.

- Adviendra ce qu?il adviendra. Bien que tu arrives à en parler avec un peu de dérision, je sais que tout ce que je n?aimerais pas, c?est être là au moment du dénouement.

« Si c?est si gentiment demandé? »

Avais je bien entendu ? C?est une voix d?homme qui venait de dire cela. Elle avait un accent bizarre, et un timbre à vous glacer le sang. Les deux garçons dormaient, et Hélène ne pouvait pas parler de la sorte?Manon n?avait pas eu l?air d?entendre. La voyant non réactive, je me dis que j?avais dû halluciner, bien qu?une autre petite voix, tout au fond de moi, me dise que le hasard n?était dû en rien dans ce que je venais d?entendre.

Hélène entra dans le salon, nous dit bonjour, se posa sur le canapé, et, comme à son habitude, elle sortit son livre. Elle paraissait d?humeur assez corrosive. Comme nous ne parlions plus, elle nous demanda si elle avait jeté un froid. Manon répondit que non, mais que nous parlions de Stéphane, et que vu la tension entre les deux, elle préférait changer de sujet. Cela énerva Hélène, qui expliqua, sur un ton assez colère, que si nous savions pourquoi elle était comme ça, nous la comprendrions. Je répondis que je savais pourquoi elle se comportait comme ça? Un grand silence suivit ce que je venais de dire. Hélène parut d?un coup très mal à l?aise. Je ne sais pas si c?était dû à ses dernières nuits, mais elle avait une horrible mine. Elle vint vers moi, se mit à ma hauteur, et me certifia que je ne savais absolument rien. Je m?obstinai un peu et lui expliquai que si elle était aigrie, c?est parce qu?il se comportait comme un manche avec moi depuis que l?on était arrivés ici. Elle me regarda étrangement, puis, comme si un poids venait de s?ôter de sa conscience, elle me dit qu?effectivement, c?était à cause de ça. Elle paraissait curieuse de savoir comment je le savais, mais se garda de me poser des questions, Steph entrant dans le salon. Il nous dit « bonjour tout le monde », et comme la veille, du tac au tac, Hélène lui répondit « Salut tout seul », chose qu?il prit plutôt mal. Il la traita d?un nom que je me garderais bien d?écrire. A ces mots, elle se leva, se dirigea vers lui, qui était assis à la table du salon, et lui dit : « Tu sais très bien ce qui nous oppose, et je te conseille d?éviter de trop l?ouvrir ! ».

Enervé, il hurla, en retournant dans la chambre, qu?elle n?aurait pas sa liberté de penser. Je doutais que ce fut le moment pour dire des conneries. Entre temps, Sébastien était allé prendre sa douche, si bien que Steph se retrouva seul dans la chambre. Il paraissait à bout de nerfs. J?entrai doucement dans la chambre, pour essayer de lui remonter le moral, et d?obtenir quelques explications. Il m?expliqua, les yeux bien rouges, gonflés et fatigués qu?il n?avait pas envie d?en parler, puis me demanda de le laisser quelques minutes, car il avait besoin de passer un coup de téléphone. Je préférais respecter sa demande, et lui dis, juste avant de sortir, que depuis que le signe brûlait, j?avais l?impression que quelqu?un allait nous quitter, ne sachant pas trop comment l?expliquer, et que je pensais savoir qui allait mourir. Il leva les yeux, voulut me demander de rester, mais j?étais déjà partie? D?un seul coup, ce que m?avait dit Sébastien vis-à-vis de ce qu?il pouvait ressentir me paraissait moins abstrait.

Hélène ne déjeuna pas avec nous, Ragel l?invitait à la pizzeria. Nous étions donc Sébastien, Manon, Stéphane et moi. Pendant que les amoureux préparaient à manger, Steph s?approcha de moi pour me poser quelques questions sur ce que j?avais ressenti, vis-à-vis de la mort, car il avait eu son père au téléphone pour avoir des informations dans le livre, et il avait appris que le fait de voir le signe brûler constituait l?annonce d?une mort certaine. Pour appuyer ses propos, je montrai Manon du doigt. Il venait de comprendre, et son visage s?en décomposa. Il s?en voulait de ne pas m?avoir écouté plus tôt. Cela n?aurait pourtant rien changé, vu qu?elle était encore vivante. En bégayant à moitié, il m?expliqua que la volonté de Gilles, pouvant surpasser toute destinée, la condamnait sans que nous ne puissions rien faire pour y remédier. Il était blasé, mais j?étais persuadée que quelque chose était possible. Ne dit on pas que tant qu?il y a de la vie, y?a de l?espoir ?

Il partit jouer au foot vers deux heures et me demanda de l?appeler sans hésiter si quelque chose n?allait pas. Je trouvais d?ailleurs déplacé qu?il se permette d?aller jouer au foot malgré la menace qui pesait sur ses parents? Il ne me croyait pas, ou quoi ? Rien ne se passa jusqu?aux alentours de quatre heures. Alors que nous étions agglutinés devant la télévision comme des morses sur un rocher, Sébastien demanda à sa tendre ce qu?elle comptait faire à manger ce soir. Je sentais dangereusement le point de non retour s?approcher?

- En même temps, t?as cru que j?étais la conchita de service ?lui lança-t-elle belliqueusement.

- Mais évidement que non, je ne t?ai même pas appelée comme ça, répondit il d?un air pacificateur.

- C?est cela, c?est cela.

- Le fait est que je ne t?ai rien dit, et je ne dirais rien, même si je devais le penser.

- N?en rajoute pas, c?est pas drôle ! lança-t-elle.

- Simplement car ça ne t?a pas fait rire ? C?est pas la modestie qui t?étouffe ! répondit-il avec acidité

- Non, c?est toi ! poursuivit-elle.

- Et ce n?est pas non plus l?humour ton cheval de troie.

- Il parle de chevaux et ose faire la morale sur la modestie.

- Reste calme !

- Pourquoi ? Qu?est ce que tu vas faire ?

- Tu le sais très bien, alors fais pas ta maline !

- T?es mignon quand t?es énervé !

- Et ma main dans ta gueule, elle est mignonne ?

- Pourquoi ? tu vas encore me frapper, sinon ? répondit elle, avec un sens de la provocation qu?elle seule avait comme ça.

- Mais tu racontes n?importe quoi ! Quand est ce que je t?ai tapé ?

- Décidément, même ta mémoire est courte.

- Quand tu étais complètement bourrée et que tu as fait que m?insulter pendant une demi heure ? T?aurais mérité double tarif, et tu l?as reconnu !

- Le fait est que tu m?as levé la main dessus.

- Arrête un peu de craquer, car sinon je serai tenté de renouveler l?expérience !

- T?as gagné, je me casse !

- C?est ça, casse toi, espèce de traînée de sac à foutre !

- Je t?ai donné les plus belles années de ma vie, et t?as vu comment tu me remercies ?

- Merci pour le cadeau, tu aurais pu t?en priver.

- Bon calmez vous un peu, vous deux, ça sert à rien de s?énerver pour si peu, c?est moi qui ferai à manger ce soir, tentai-je de dire, en vain.

- Oh, Anna, occupe toi de ce qui te regarde, s?il te plaît, me dit il, passablement courroux.

- Nan mais t?as vu comment il te parle ? me dit Manon. C?est un phallocrate fini !

- ça sert à rien de faire genre t?as du vocabulaire quand on est bonne qu?à se taper son prof de maths pour avoir la moyenne !

- Adieu !

- Qui sème le vent récolte la tempête, connasse !

Je sortis de la salle à manger quelques minutes, car mon téléphone sonnait. C?était ma mère qui, enfin, prenait de mes nouvelles. Je lui expliquai que mes problèmes ne s?étaient pas arrangés, et comme d?habitude, j?eus droit à une rengaine du style « J?aurais jamais du te laisser regarder tous ces films d?horreur, j?aurais jamais du te laisser voir tes amis, surtout le sataniste »? Elle me saoulait quand elle parlait d?eux comme ça ; elle ne se rendait pas compte qu?en agissant de la sorte, j?avais de moins en moins envie d?assumer les liens sanguins que j?avais avec elle. Je revins donc dans le salon. Les deux autres avaient évolué dans leur dispute, qui était d?un ridicule? Ils continuaient de s?insulter?

- Moi je te le dis, tu finiras pas les vacances ici, la réservation est à mon nom !! Je te foutrai des marrons dans le cul si il le faut !! hurla Seb.

- Mais tu crois que je les connais pas par c?ur, tes vieilles rengaines, surenchérit Manon. Tu es le roi du pipeau, et tu ne sais même pas te servir du tien !

- Les amoureux, s?il vous plaît, vous allez me faire le plaisir de vous calmer avant que...

Je n?eus même pas le temps de finir ma phrase qu?elle avait déjà franchi le pas de la porte d?entrée. Ils avaient beau m?avoir fait rire, je sentais bien que cette affaire ne laissait rien présager de bon. Et Sébastien qui continuait de la traiter de catin frustrée? C?est finalement moi qui ai continué à l?insulter de tous les noms assimilant plus ou moins à un abruti. Il me répondit que la seule chose qu?il ne voulait pas, c?était lui parler. Je courus téléphoner à Stéphane pour lui expliquer que Manon venait de partir pour bouder. D?abord moqueur, il se rappela de la menace qui pesait sur elle, puis me dit qu?il arrivait de suite. Manon se dirigeait vers une fin horrible, sans que je n?arrive à convaincre Seb d?aller la chercher. J?espérais que Steph y arriverait mieux que moi. Si seulement Sébastien avait su de quoi il s?était indirectement rendu coupable?

Je réfléchissais dans la chambre à ce qui aurait pu faire changer Sébastien d?avis, quand soudain, je fus prise d?une fatigue lourde et intense, comme si je venais de prendre un somnifère et qui commençait à faire son effet. Je sentais mes yeux se fermer tout seuls, avec l?impossibilité de lutter. Lorsqu?ils étaient un peu ouverts, je voyais flou, et au ralenti. Je m?allongeai sur le premier lit, entendis les voix provenant du salon s?estomper ou s?éloigner, pour sombrer dans le monde des rêves. Je me voyais planer à quelques mètres de hauteur sur Villard.

Les rues étaient étrangement désertes. Personne dans la rue principale, à la piscine, au niveau de la gare routière? Soudain j?aperçus Manon. Elle semblait pleurer, et avait l?air de se diriger vers la clairière qu?ils avaient découverte quelques jours auparavant. Je me souviens qu?en revenant d?ici (si mes souvenirs sont bons, ils l?ont découverte le jour où on avait déjeuné sur la place de l?ours), elle était subjuguée par l?endroit où elle s?était retrouvée avec Sébastien, et disait vouloir y retourner aussi souvent que possible. Je l?appelai de toutes mes forces. Elle se contenta de se retourner, sans me voir, ni reconnaître ma voix. Son visage se ferma, elle semblait s?inquiéter de quelque chose. C?était sûrement le fait d?avoir entendu son nom sans voir personne le prononcer. Elle se retournait fréquemment, (voulant sûrement voir Sébastien la rattraper, si bien qu?elle ne vit pas un poteau se présenter face à elle, et se fendit la cloison nasale. Des gouttes de sang traçaient désormais le chemin qu?elle empruntait. Pour arriver à la clairière, elle devait longer une usine désaffectée, le cimetière communal, ainsi qu?un petit chemin de campagne d?une cinquantaine de mètres.

Elle longea le cimetière, s?arrêta quelques minutes et s?approcha des grilles, puis resta quelques minutes, les yeux collés à une tombe différente des autres. Elle semblait bien plus neuve. Dessus, se trouvait une petite statue de la vierge. Manon continua finalement d?avancer. Une fois au niveau de la clairière, elle s?arrêta une dizaine de minutes, respira profondément. Elle semblait calmée. Elle ne pleurait plus, même si je sentais que sans Sébastien, la clairière lui paraissait bien vide et dénuée d?intérêts. Il lui manquait déjà? Elle semblait attendre qu?il la rejoigne ici. Même si Sébastien s?était mal comporté, elle avait bien conscience qu?elle avait allumé la mèche, sans vouloir l?éteindre. Peut être pensait elle que s?engueuler n?était qu?un jeu?

Soudain, elle entendit un hurlement strident, agressif et rempli de cruauté. Le cri d?une femme qui, visiblement, souffrait plus que le martyr. Angoissée, elle se releva, apparemment décidé à rentrer le plus vite possible à l?appartement. Plus elle se rapprochait de la résidence, plus les cris s?intensifiaient. Ils provenaient du cimetière. Curieuse de savoir ce que cela cachait, elle y entra, et se retrouva finalement face à la tombe qui l?avait interpellée quelques minutes auparavant. Plus elle s?approchait, plus sa démarche ralentissait et gagnait en incertitude. C?est en fait la statue qui hurlait, tout en pleurant du sang? Face à cette horreur, elle se recula, un peu hasardeuse. Puis la statue se tut, pour brûler, comme l?autel l?avait fait la veille de notre départ?

Dans un silence pesant, elle se rapprocha de la tombe, et poussa un cri de terreur en voyant que son nom ornait l?épitaphe. Elle suffoquait, hurlait, avait du mal à se tenir debout, pleurait? Le visage décomposé par la peur, elle tenta s?enfuir aussi vite qu?elle le pouvait, mais chaque entrée et sortie du cimetière (entre les petites entrées sous les grillages et les trois portes, elles étaient au nombre de sept.) était bloquée par un homme avec une soutane noire, et un énorme pendentif sur lesquels se trouvaient une lettre différente. Il y avait un homme, sûrement un prêtre (vu qu?il portait une soutane), avec la lettre D sur son pendentif. Le deuxième avait la lettre K, le troisième la lettre A, le quatrième avait la lettre A également, le cinquième avait la lettre Z, le sixième la lettre R, et enfin, le dernier avait la lettre S. Consciente qu?elle n?avait nulle part où fuir, elle resta sur la tombe, mit ses mains en prière, en espérant que ces sept moines démoniaques allaient disparaître. Ils commencèrent à s?approcher d?elle, lentement, cyniques, comme pour lui faire « savourer » ces instants. Les derniers ? Ils avançaient tout en l?entourant afin qu?elle ne puisse pas s?échapper. Ils n?étaient pas comme Aglaho. Ils paraissaient plus âgés, plus posés, plus intelligents, moins cruels?

Une fois entourée, sans échappatoire possible, elle hurla le nom de Sébastien à plusieurs reprises, avec peut être l?once d?un espoir de le voir venir pour que tout rentre enfin dans l?ordre, qu?ils puissent retourner à l?appartement, et oublier ce qui n?aurait été qu?un mauvais souvenir.

Ils se reculèrent, sauf l?homme qui avait le pendentif avec la lettre S. Il s?approcha d?elle, en fit le tour à plusieurs reprises. Manon avait la tête baissée. De grosses larmes coulaient sur ses joues. Elle avait compris, et moi aussi? L?homme se mit à lui caresser le dos, lentement, puis soudainement, lui transperça la poitrine !! Il ressortit sa main aussi vite qu?il l?avait introduite, tenant son c?ur. Encore debout, le regard vide, elle tomba lentement comme un pantin, morte? Les hommes en noir se réunirent ensuite. Ils parlaient à voix basse? L?homme qui avait le pendentif avec la lettre R s?éloigna ensuite d?eux, et dit dans un français parfait (savait il que j?étais là et que j?entendais ?), que la prophétie se rapprochait, que la passion devait prendre le dessus afin d?assurer l?arrivée de Gilles et l?éclat de la vérité. Mais de quelle vérité est ce qu?il parlait ? Et quelle vérité pouvait valoir le spectacle qui s?offrait à mes yeux ?

Elle gisait sur la tombe portant son nom, avec un trou dans le torse. Son corps baignait dans une mare de sang, son t-shirt blanc, ses cheveux, ses lunettes, son pantalon? Tout était rouge. Son meurtrier lui ferma les yeux, et sur son ventre, traça avec son doigt la lettre S, l?ayant au préalable trempé dans la mare? Elle venait bel et bien de nous quitter. La tombe était cramoisie. J?étais totalement effondrée par la vue qui se présentait à moi. Une partie de moi-même s?était envolée. Je tombai par terre, m?assis sur un muret, me retrouvai face à elle. Je n?avais plus que mes yeux pour pleurer sa mort. Le signe se dessina ensuite sur la tombe où gisait Manon, et Aglaho en sortit. Cette fois, c?était lui, à coup sûr. Il souleva Manon, prit ses lunettes, les jeta et marcha dessus, il l?assit ensuite contre la pierre tombale et se mit derrière elle. Le sang sur son visage se noircissait peu à peu. Il souleva ses manches, je vis ses horribles mains, comme sur la photo avec le chat mort. Il posa ses doigts sur chaque côté de son visage, un doigt sur chaque côté de sa bouche, et un doigt sur l?extrémité de chaque ?il, puis tira d?un coup ! Elle n?avait plus de visage, c?était vraiment à vomir. Il la laissa comme elle était, coupa une de ses oreilles, la prit avec lui, et s?en alla. Je m?approchai pour voir ça de plus près. La peau de son visage était par terre, à côté de sa dépouille. Elle était désormais partie? D?un coup, je sentis le sol se fissurer sous mes pieds. Avant que je me rende compte de ce qui arrivait, je tombai pour atterrir au même endroit où je m?étais endormie. La tête en quatre, je ne comprenais plus rien. Avais je rêvé ou avais je vu une scène de la réalité ?

Contribution du : Le 16/12/2005 à 00:26
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Re: A la recherche de Visky
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dans le congrès de super héros, tu retrouves son grognement à plusieurs reprises, car VIsky il aime pas se faire toucher les parties intimes

et dans le petit chaperon rouge, on entend son cri dès que la mère grand demande quelque chose

Contribution du : Le 08/12/2005 à 22:21
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Yo les têtes d'ananas, ça flotte sous la glotte ? désolé de ne plus être venu depuis pas mal de temps sur le forum, mais les révisions et quelques affaires personnelles m'ont occupé pas mal. Si j'écris ce topic c pour vous informer que désormais, j'ai mis mes écrits sur des blogs, ce qui est plus facilement consultable pour tous (ceux qui liront lol)

pour alerte bleue, il vous suffit d'aller sur

Http://alertebleue.skyblog.com

Pour le palais des philosophes, il vous suffit d'aller sur

http://lpdp.skyblog.com

Pour 6 mois 6 jours 6 heures, il vous suffit d'aller sur

http://tmp666.skyblog.com

Voila pour vous, bisous !!

Contribution du : Le 05/07/2005 à 15:38
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Re: Le jeu de la citation
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Contribution du : Le 21/04/2005 à 10:03
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Re: La religion
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en plus c un cousin de damien et louis !! (pardon, je sors...)

Contribution du : Le 21/04/2005 à 09:49
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Re: Quel musique écouter vous ?
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ah, c un peu comme gronibard ?

Contribution du : Le 21/04/2005 à 09:48
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c chiant lol, de devoir reconnaitre le talent des connards (genre Céline et Gobineau, qui sont, malgré tout, géniaux) lol

Contribution du : Le 21/04/2005 à 09:47
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amen

Contribution du : Le 20/04/2005 à 00:53
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je vois le genre

Contribution du : Le 19/04/2005 à 10:29
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ah, zabou, t'as po aimé les mots?

Sinon, y'en a qui ont lu Caligula de Camus ? je vous le conseille, il é pas mal du tout!

Contribution du : Le 19/04/2005 à 01:00
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Re: La religion
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je suis totalement d'accord ac toi sur ce que tu viens de dire. je pense que ça sert à rien de continuer a parler sur ce sujet, car on é tous les deux aussi bornés l'un que l'autre... en ce qui me concerne, je n'interviendrai plus sur ce topic pour polémiquer (prends le comme un aveu de faiblesse si tu veux, mais ce n'en est pas un lol)

EN fait c pas que ça me fait peur, mais je me dis que si on vit sans but, c un peu dommage, car se dire que nottre vie ne sert à rien, ça fait po plaisir. et si on combinait le joli au réel ?

en ce qui concerne les sciences, je peux que te dire que pour progresser il faut de bonnes bases, et c eux qui les ont faites.

Pour aristote, c la deuxième option.

(au fait c koi un worship ?)

C'est clair que si la morale venait d'en haut, ce serait plus pratique (vive la déontologie kantienne smil3dbd4d6422f04.gif

Remarque, le paradis avec les 70 vierges, moi je suis preneur smil3dbd4d4e4c4f2.gif


En ce qui concerne le smiley, il n'avait aucune animosité, mais ct la seule chose que g trouvée pour essayer de "dpassionner le débat" lol

Pour le stalinisme, ce n'était qu'une image, je ne me permettrais surtout pas d'assimiler qui que ce soit à ce connard, alors, je m'excuse si tu l'as mal pris.

Sinon, je suis pas forcément vexé, mais le seul truc, c'est que j'ai l'impression que tu écoutes ce que je dis, et que tu réponds en partant nécessairement du fait que j'ai raison.

On pourrait savoir tout interpretéer si on avait une parfaite maitrise de la langue, mais bon, c po à nos ages qu'on l'a.

je respecte tes opinions, et je pense qu'au final tu respectes les miennes. et je crois que tu t'es trompé sur un point, je suis pas superstitieux, car c qq chose sur le long terme et que l'on voit sur l'avenir (genre, tiens je vais pas passer sous cette échelle). En ce qui me concerne, j'explique des évènements passés par une destinée quand deux trois choses sont corrélatives (je te donne un exemple, y'a deux trois semaines, j'ai séché un cours, et en rentrant, me suis fé piquer ma montre) c complètement bete, mais bon, je me dis que c bien fé pour ma gueule, et que j'ai été sanctionné. par quoi ? seul dieu le sait smil3dbd4d6422f04.gif

Contribution du : Le 19/04/2005 à 00:58
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Re: La religion
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en fait, gregg, ce dont tu parles dans ton premier paragraph, c une allusion a l'évolutionisme de Darwin ?
Moi je pense que si on existe, ce n'est pas pour rien, mais le problème, c que la science ne traite pas ce cotré de la question a juste ou injuste titre, j'en sais rien du tout.

Je sais pas si tu sais, mais les plus grands philosophes ont été de très grands scientifiques, donc je pense que leurs théories sont un minimum fondées (Aristote, Platon, Kant, Descartes, Leibniz, Laplace, pour ne citer qu'eux). done je ne pense pas que leurs déclarations soient arbitraires.

Sinon par rapport à ce que tu dis à LTC, concernant le but de l'homme, je te conseille "les politiques" d'Aristote, ça explique pas mal de choses, en gros, il dit que le seule finalisme vers lequel nous tendons c le Souverain Bien, et que se réunir nous y aide bien.


Si ça se trouve, tu n'as peut être pas tort, mais je me dis que si la philo a su vivre et survivre a travers les siècles, c qu'elle ne raconte pas autant de conneries que tu penses. a suivre ton raisonnement, ma religion c la philo, mais reconnais que la tienne c la science, puisque tu essaies de tout expliquer par son biais.

Et quand tu parles de ta vision du paradis, là c plus de la chrétientophobie, car jamais tu ne fé allusion au paradis musulman, au paradis judaique, au paradis des dieux égyptiens, meme po aux paradis philosophiques :-D (la répubblique platonicienne et l'utopia de more). Alors, je veux bien que tu craches ton venin contre les cathos, car je les porte pas dans mon coeur, mais moi je les respecte, mais a ce moment là, y'a bien un jour ou ton scientisme te sera reproché, et là tu pourras rien dire, si ce n'est écrire des longues tirades sans queue ni tête.

Le mépris que tu affiches pour ce qui ne pense pas comme toi est assez vexant, et donc ravale un peu ta salive, car le stalinisme, c fini, et zé po envie de faire cvomme toi smil3dbd4d6422f04.gif

Contribution du : Le 18/04/2005 à 11:56
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